Il peut y avoir plusieurs raisons pour investir dans l’immobilier. Se constituer un patrimoine, anticiper sa retraite, réaliser un rapprochement familial… Au même titre que les biens ciblés, chaque projet possède ses spécificités, y compris dans la manière de le concrétiser. Quelles sont les différentes méthodes d’investissement immobilier ?
L’investissement direct pour un usage personnel ou une revente
Il s’agit de la méthode la plus courante pour investir dans l’immobilier physique. En général, elle est le premier « réflexe » quand on souhaite devenir propriétaire. Cela consiste en l’achat d’un bien pour en tirer un bénéfice. Ce dernier peut être d’ordre financier ou pratique dans le cadre d’un déménagement personnel. Par exemple, un acquéreur potentiel peut être intéressé par un appartement à vendre à Hyères et solliciter une agence immobilière pour réaliser la transaction auprès de l’actuel propriétaire. Selon le contexte et la valeur du bien, il est possible d’obtenir une plus-value conséquente en cas de revente.
L’investissement locatif, régulariser un revenu secondaire
Comme la précédente solution, l’investissement locatif est physique, car il met à disposition d’une personne (ou d’une entreprise) un logement ou un local. Il reste une valeur sûre, dans le sens où la location génère un revenu régulier. Si une partie de celui-ci est allouée à l’entretien de l’habitat, une autre constitue un bénéfice notable pour le propriétaire. Toutefois, la gestion locative peut se révéler complexe, notamment en ce qui concerne la réglementation légale. Il peut être intéressant de se tourner vers un expert, comme une agence de location à Toulon ou dans une autre agglomération. Idéal pour rechercher un locataire et, le cas échéant, administrer le bien en question.
Acheter des parts en SCPI
En parallèle de l’investissement physique, le porteur de projets peut se tourner vers les SCPI (Société Civile de Placement Immobilier). Au lieu d’acheter un bien, l’investisseur acquiert des parts. La SCPI se charge ensuite de rechercher des biens dans le but de valoriser un patrimoine immobilier. Ce dernier se constitue de biens variés afin de mutualiser les risques et garantir un minimum de rentabilité sur une année. Comme pour une transaction classique, la demande d’un prêt pour acheter des parts est envisageable. De plus, ce type de placement est régulé par l’autorité des marchés financiers (AMF). En moyenne, on peut escompter une rémunération annuelle de 4 à 6 %. Un revenu proportionnel à la valeur de ses parts. En revanche, il n’est pas possible de bénéficier d’avantages fiscaux, car les dividendes sont taxés.